Description du projet
Déjeuner sur le radeau
2018
(140 x 210 cm, acrylique, pierre noire, boite de conserve sur toile)
Prix de l’original : 8 000 €
Prix : 750 €
Encore quelques nouveaux personnages, chacun ayant un rôle à jouer.
Le radeau et la mer représentent la Vie, celle dans laquelle nous avançons.
Les personnes, comme dans la vraie Vie, chacune avec leurs valeurs et différences sur le même radeau.
Cette situation sera une épreuve pour certains, inconscience pour les autres, l’espérance, la mélancolie, l’arrogance, la solitude, le soutien, la souffrance… l’Humanité symbolisée…
Les références dans l’histoire de l’art :
Déjeuner sur l’herbe Manet
Radeau de la Méduse Géricault
La Vague Hokusai
La Pietà Michel-Ange
Ils sont utilisés pour démontrer la tragédie du monde actuel, les guerres permanentes, les migrations, la Mer Méditerranée et les Océans dévastés par la pollution des plastiques et autres marées noires par ce fût d’huile qui s’écoule dans la mer ….
A gauche « le monde de la consommation » représenté par 4 personnages deux femmes et deux hommes se délectant de caviar et de vodka. Le panier de fruits de Manet est remplacé par un sac rempli d’emballages tombants dans l’eau…
Un petit côté « Arche de Noé » avec chat et chien à l’opposé, le singe découvrant et savourant le Corned Beef et la tortue devant une feuille sèche de figuier recherche la verdure …
En haut une prière d’espérance, une jeune femme s’adresse au prêtre et lui demande de l’aide pour un garçon blessé et son père désespéré. Cette scène de la Pietà illustre les victimes de la guerre.
La femme enceinte avec sa petite fille qui reste près d’elle symbolise Vie qui se transmet, la permanence…
Le petit garçon à la bouée que personne ne surveille, détaché des autres pour montrer que malgré son jeune âge il est confronté à se débrouiller seul mais il attend d’être aidé… un appel à l’aide de l’enfance.
A droite les gens mains tendues pour venir au secours au plus faibles mais aussi aux plus forts pour espérer un monde meilleur.
A l’horizon un sous-marin… l’Espoir lointain …